Vidéo inédite courses nautiques sur la Nive Fêtes 1977

S’il était une activité qui faisait très peu sourire nos indéboulonnables pêcheurs de la Nive, c’était bien les courses nautiques sur cette dernière !

En effet ces épreuves en étaient également une pour eux, impossible de déposer délicatement leur bouchon de liège sur la surface, sans risquer de se faire accrocher par un bolide capable de vider le contenu de leur moulinet en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire !

Le « circuit »

Partant de l’Aviron, le tracé était simple une bouée entre la Place du Réduit et le Théâtre, l’autre juste après l’Aviron, entre les deux, les pilotes qui n’étaient pas des timides s’en donnaient à cœur joie.

Aucun obstacle ne pouvait atténuer leur soif de victoire, si ce n’est peut-être les piles des 4 ponts enjambant la Nive…

Ce spectacle était très prisé et la foule s’amassait sur les quais pour voir les bolides vrombissants passer à une vitesse capable de décoiffer un muge !

Je me souviens que seuls nos pêcheurs « officiels » se refusaient à y assister arguant que « leur Nive » leur avait été injustement confisquée « juste au moment où la marée était la meilleure ! »

Une fois la course achevée, nous ne perdions pas une seconde pour retourner voir le rassemblement de motos à Saint André…

Deux vieilles bobines de film sorties d’un carton de stockage par Claude Jammaerts notre aimable contributeur, l’expertise de Michel Etchelet (Passion Images) qui a numérisé ces trésors, et votre serviteur pour le montage et la diffusion.

Le résultat ? Vous jugerez par vous-même, mais je pense que le contenu de cette vidéo vous renverra illico il y a 40 ans, émotion comprise bien entendu.

Regardez bien, certain(e)s s’y retrouveront ou y retrouverons de la famille ou des amis !

Vous noterez au passage, les anciens commerces de l’époque qui eux aussi raviveront sans doutes quelques souvenirs.

N’oubliez pas de partager cette vidéo avec votre famille et vos amis !

Si cette vidéo vous a plu, abonnez-vous gratuitement à « Bayonnades » et recevez directement les nouveaux articles par email !

Origine de la Rue Jacques Laffitte

LAFFITTE JACQUES 1767-1844 –Homme politique

Jacques Laffitte né à Bayonne en 1767 au 3 rue Trinquet actuel (anciennement rue Maubec) et mort à Paris en 1844, est un homme politique, président du Conseil et ministre des finances de novembre 1830 à mars 1831.

Créateur et gouverneur de la Banque de France

Parmi les tracés prévus, seule la rue Laffitte est partiellement réalisée. Jusqu’en 1732, les prostituées sont gardées à l’hôpital Saint-Léon, une maison située rue des Cordeliers servant à leur enfermement après cette date.

Un premier bâtiment affecté à la Poste est construit en 1912 au n° 14 de la rue Laffitte devenu par après le Commissariat de Police.

Franc-Maçon à la loge les 3 Jours

Ancien « Bouche Ben » passage du Couvent des Jacobins.
Ancienne poste

Nous connaissons tous plus ou moins les noms des rues de notre chère cité.

Mais de là à connaitre leur origine c’est une autre histoire…

C’est un travail de recherche que j’envisageais de faire depuis des lustres, sans vraiment trouver le temps de m’y atteler.

Et c’est là que Claude Jammaerts ancien trésorier de l’Amical du Petit-Bayonne et fervent amateur des « Bayonnades » m’a contacté.

Lors de notre rencontre autour d’un café, il m’a confié avoir travaillé sur l’origine du nom des rues du Petit Bayonne, et exprimé un souhait que nous avons en commun, celui partager avec le plus grand nombre le fruit de ses recherches.

Voici donc une nouvelle rubrique qui vous dévoilera régulièrement l’origine des noms de rues et places de Bayonne.

Si vous aussi avez des informations se rapportant à ce sujet, n’hésitez pas à me les envoyer ! Je vous en remercie par avance.

Retrouvez très bientôt de nouveaux articles sur les «Bayonnades » ! Pour être informé directement de leur arrivée, abonnez-vous, c’est gratuit !

Origine de la Rue Pannecau

De « pains chaud » ou de « vole choux »

L’urbanisation du Bourg-neuf et de Pannecau, opère sur le même modèle d’une alternance de levées de terre et de canaux.

Les rues Pannecau, des Tonneliers, des Cordeliers et de Galuperie, forment aussi des «esters» enjambés par des «pontics», passerelles en bois, à hauteur des berges de la Nive et de la rue des «Pontrique» qui porte bien son nom.

C’est un quartier séparé du quartier  Bourg-neuf, on y trouve la fontaine Marrat

En 1597 la rue Pannecau est pavée

De Pane Cau (pain chaud) ou Voleur de choux – panayre choux (voleurs de choux dans le potager des Jacobins)

Ancien nom : rue Marat

Rue Pannecau dans les années 70

Nous connaissons tous plus ou moins les noms des rues de notre chère cité.

Mais de là à connaitre leur origine c’est une autre histoire…

C’est un travail de recherche que j’envisageais de faire depuis des lustres, sans vraiment trouver le temps de m’y atteler.

Et c’est là que Claude Jammaerts ancien trésorier de l’Amical du Petit-Bayonne et fervent amateur des « Bayonnades » m’a contacté.

Lors de notre rencontre autour d’un café, il m’a confié avoir travaillé sur l’origine du nom des rues du Petit Bayonne, et exprimé un souhait que nous avons en commun, celui partager avec le plus grand nombre le fruit de ses recherches.

Voici donc une nouvelle rubrique qui vous dévoilera régulièrement l’origine des noms de rues et places de Bayonne.

Si vous aussi avez des informations se rapportant à ce sujet, n’hésitez pas à me les envoyer ! Je vous en remercie par avance.

Retrouvez très bientôt de nouveaux articles sur les «Bayonnades » ! Pour être informé directement de leur arrivée, abonnez-vous, c’est gratuit !

Origine de la Rue Bourgneuf

« Bourg Neu »

Le Petit Bayonne est un quartier populaire et actif, qui fut concédé aux évêques en 1152 comme zone franche. Vauban l’engloba dans ses fortifications. Le quartier disposait de nombreux canaux qui servaient de voies de communication.

Sous le Consulat, la sous-Préfecture est au 23 de la rue Bourgneuf, au bâtiment occupé précédemment par l’Amirauté.

Le tribunal de l’Amirauté, créé à la fin du 17ème siècle, se réunit à la Douane de la place Gramont qui lui prête ses locaux en 1700. Il est transféré au 23 rue Bourgneuf où elle occupe une maison double dénommée «Portonique».

Anciens noms : Bourg-neuf – rue Saint André – rue des Jacobins

Ont disparu les rues Bouheben et Chambourg donnant sur la rue Bourgneuf

Au Moyen-Âge :

Trois chantiers navals existent au Bourgneuf : celui du «Clos-des-galées» devant les Cordeliers, celui de «Borc-Nau» à l’actuel quai des Corsaires, le troisième étant devant les Jacobins à partir de 1317.

Ce dernier, jouxtant la «Fosse aux mâts» et les allées Boufflers, subsiste jusqu’en 1854.

Ceux du «Clos-des-galées» et du «Borc-Nau», figurent au plan de 1612, le second occupant l’emplacement de la maison Dagorette. Plusieurs chantiers se développent aussi à Mousserolles.

La rue Bourgneuf autrefois

Nous connaissons tous plus ou moins les noms des rues de notre chère cité.

Mais de là à connaitre leur origine c’est une autre histoire…

C’est un travail de recherche que j’envisageais de faire depuis des lustres, sans vraiment trouver le temps de m’y atteler.

Et c’est là que Claude Jammaerts ancien trésorier de l’Amicale du Petit-Bayonne et fervent amateur des « Bayonnades » m’a contacté.

Lors de notre rencontre autour d’un café, il m’a confié avoir travaillé sur l’origine du nom des rues du Petit Bayonne, et exprimé un souhait que nous avons en commun, celui partager avec le plus grand nombre le fruit de ses recherches.

Voici donc une nouvelle rubrique qui vous dévoilera régulièrement l’origine des noms de rues et places de Bayonne.

Si vous aussi avez des informations se rapportant à ce sujet, n’hésitez pas à me les envoyer ! Je vous en remercie par avance.

Retrouvez très bientôt de nouveaux articles sur les «Bayonnades » ! Pour être informé directement de leur arrivée, abonnez-vous, c’est gratuit !

Impensable aujourd’hui !

Jusqu’aux années 80, le périmètre des Fêtes n’était pas bouclé, je veux dire par là qu’il était possible de traverser les Fêtes en voiture, de jour comme… de nuit…

Les Bayonnais les plus optimistes (ou les plus inconscients) n’hésitaient pas une seconde à se garer pour la nuit, rue Bourgneuf, Pannecau ou le long des quais par exemple, tout comme ils le faisaient le reste de l’année.

Continuer la lecture de « Impensable aujourd’hui ! »