« Piler du poivre »… « Une Michecuite »… « Se prendre une hougnade »… « Se tenir une gnagne »… « Sortir en taille »… ou encore « Un vrai Poy »… voici quelques-unes des expressions croustillantes de ce Pack 6 composé de 28 nouvelles Bayonnades !
Régalez-vous, amusez-vous et n’oubliez pas de partager !
Pour votre information, afin de réaliser cette section, je me suis appuyé sur des textes anciens, et des archives datant du tout début du XXème siècle, dont certains fournis notamment par Jacques Lassus et Beñat Auriol que je remercie vivement, documents auxquels j’ai rajouté les archives familiales ainsi que mes propres souvenirs d’enfant des halles et du Petit Bayonne. Je tiens à remercier également les centaines de personnes qui ont apporté leur contribution sur la page Facebook dédiée à l’histoire des Halles de Bayonne.
Ceci dit, je file vous préparer… le Pack N°7 !
D’ici là n’hésitez pas à partager !
Retrouvez très bientôt les nouvelles « Bayonnades » sur ce site ! Pour être informé directement de leur arrivée, abonnez-vous, c’est gratuit !
Emplacement du Couvent des Frères Mineurs et Franciscains
Les
Cordeliers, Mineurs ou Franciscains, apparaissent vers 1222-1228, pratiquement
en même temps que les Jacobins.
Ils
s’installent probablement à la rue qui porte aujourd’hui leur nom, appelée
alors «San-Bénédit».
En 1242,
l’évêque et le Chapitre leur cèdent les droits sur un oratoire situé près du
«Clos des Galées». L’année suivante, le roi donne «quarante marcs» à l’«opus
fratum minorum Baione» et, en 1283, il leur cède les terrains attenant à leur
oratoire d’une contenance de 28 brasses de côté «en bordure de la Nive et à
l’intérieur de l’enceinte», et 100 livres bordelaises afin d’y construire leur
couvent.
Terminé vers 1300, celui-ci brûle en 1333
Les
Cordeliers abritent l’artillerie, les Jacobins et les Capucins, servent
d’hôpitaux et les Clarisses de magasin.
En 1721, la rue des Cordeliers est pavée.
Puis, jusqu’en 1732, les prostituées sont gardées à l’hôpital Saint-Léon, une
maison située rue des Cordeliers servant à leur enfermement après cette date.
Le
couvent est démoli en 1833 pour construire des casernes en 1836.
Dès
lors, toute trace du couvent a disparu, l’«Atlas des bâtiments militaires»
faisant figurer à cette date les seuls nouveaux bâtiments de l’Arsenal.
Anciens noms : rue de Menons – rue Saint Bénédict – rue
Sainte Claire – en 1700 rue des Grouillots (grenouilles)
Rue des Cordeliers
Nous connaissons tous plus ou moins les noms des rues de
notre chère cité.
Mais de là à connaitre leur origine c’est une autre
histoire…
C’est un travail de recherche que j’envisageais de faire
depuis des lustres, sans vraiment trouver le temps de m’y atteler.
Et c’est là que Claude
Jammaerts ancien trésorier de l’Amical du Petit-Bayonne et fervent amateur
des « Bayonnades » m’a contacté.
Lors de notre rencontre autour d’un café, il m’a confié
avoir travaillé sur l’origine du nom des rues du Petit Bayonne, et exprimé un
souhait que nous avons en commun, celui partager avec le plus grand nombre le
fruit de ses recherches.
Voici donc une nouvelle rubrique qui vous dévoilera
régulièrement l’origine des noms de rues et places de Bayonne.
Si vous aussi avez des informations se rapportant à ce sujet, n’hésitez pas à me les envoyer ! Je vous en remercie par avance.
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S’il était une activité qui faisait très peu sourire nos indéboulonnables pêcheurs de la Nive, c’était bien les courses nautiques sur cette dernière !
En effet ces épreuves en
étaient également une pour eux, impossible de déposer délicatement leur bouchon
de liège sur la surface, sans risquer de se faire accrocher par un bolide
capable de vider le contenu de leur moulinet en moins de temps qu’il n’en faut
pour le dire !
Le « circuit »
Partant de l’Aviron, le tracé était
simple une bouée entre la Place du Réduit et le Théâtre, l’autre juste après l’Aviron,
entre les deux, les pilotes qui n’étaient pas des timides s’en donnaient à cœur
joie.
Aucun obstacle ne pouvait atténuer
leur soif de victoire, si ce n’est peut-être les piles des 4 ponts enjambant la
Nive…
Ce spectacle était très prisé
et la foule s’amassait sur les quais pour voir les bolides vrombissants passer à
une vitesse capable de décoiffer un muge !
Je me souviens que seuls nos
pêcheurs « officiels » se refusaient à y assister arguant que « leur
Nive » leur avait été injustement confisquée « juste au moment où la
marée était la meilleure ! »
Une fois la course achevée, nous ne perdions pas une seconde pour retourner voir le rassemblement de motos à Saint André…
Deux vieilles bobines de film sorties d’un carton de stockage par Claude Jammaerts notre aimable contributeur, l’expertise de Michel Etchelet (Passion Images) qui a numérisé ces trésors, et votre serviteur pour le montage et la diffusion.
Le résultat ? Vous
jugerez par vous-même, mais je pense que le contenu de cette vidéo vous
renverra illico il y a 40 ans, émotion comprise bien entendu.
Regardez bien, certain(e)s s’y
retrouveront ou y retrouverons de la famille ou des amis !
Vous noterez au passage, les anciens commerces de l’époque qui eux aussi raviveront sans doutes quelques souvenirs.
N’oubliez pas de partager cette vidéo avec votre famille et vos amis !
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Jacques Laffitte né à Bayonne en 1767 au 3 rue Trinquet
actuel (anciennement rue Maubec) et mort à Paris en 1844, est un homme
politique, président du Conseil et ministre des finances de novembre 1830 à
mars 1831.
Créateur et gouverneur de la Banque de France
Parmi les tracés prévus, seule la rue Laffitte est
partiellement réalisée. Jusqu’en 1732, les prostituées sont gardées à l’hôpital
Saint-Léon, une maison située rue des Cordeliers servant à leur enfermement
après cette date.
Un premier bâtiment affecté à la Poste est construit en 1912
au n° 14 de la rue Laffitte devenu par après le Commissariat de Police.
Franc-Maçon à la loge les 3 Jours
Ancien « Bouche Ben » passage du Couvent des Jacobins.
Ancienne poste
Nous connaissons tous plus ou moins les noms des rues de
notre chère cité.
Mais de là à connaitre leur origine c’est une autre
histoire…
C’est un travail de recherche que j’envisageais de faire
depuis des lustres, sans vraiment trouver le temps de m’y atteler.
Et c’est là que Claude
Jammaerts ancien trésorier de l’Amical du Petit-Bayonne et fervent amateur
des « Bayonnades » m’a contacté.
Lors de notre rencontre autour d’un café, il m’a confié
avoir travaillé sur l’origine du nom des rues du Petit Bayonne, et exprimé un
souhait que nous avons en commun, celui partager avec le plus grand nombre le
fruit de ses recherches.
Voici donc une nouvelle rubrique qui vous dévoilera
régulièrement l’origine des noms de rues et places de Bayonne.
Si vous aussi avez des informations se rapportant à ce sujet, n’hésitez pas à me les envoyer ! Je vous en remercie par avance.
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L’urbanisation du Bourg-neuf et de Pannecau, opère sur le
même modèle d’une alternance de levées de terre et de canaux.
Les rues Pannecau, des Tonneliers, des Cordeliers et de Galuperie,
forment aussi des «esters» enjambés par des «pontics», passerelles en bois, à
hauteur des berges de la Nive et de la rue des «Pontrique» qui porte bien son
nom.
C’est un quartier séparé du quartier Bourg-neuf, on y trouve la fontaine Marrat
En 1597 la rue Pannecau est pavée
De Pane Cau (pain chaud) ou Voleur de choux – panayre choux
(voleurs de choux dans le potager des Jacobins)
Ancien nom : rue Marat
Rue Pannecau dans les années 70
Nous connaissons tous plus ou moins les noms des rues de
notre chère cité.
Mais de là à connaitre leur origine c’est une autre
histoire…
C’est un travail de recherche que j’envisageais de faire
depuis des lustres, sans vraiment trouver le temps de m’y atteler.
Et c’est là que Claude
Jammaerts ancien trésorier de l’Amical du Petit-Bayonne et fervent amateur
des « Bayonnades » m’a contacté.
Lors de notre rencontre autour d’un café, il m’a confié
avoir travaillé sur l’origine du nom des rues du Petit Bayonne, et exprimé un
souhait que nous avons en commun, celui partager avec le plus grand nombre le
fruit de ses recherches.
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