Ancienne devise des Halles de Bayonne ordinem et munditiae

Saviez-vous que les Halles de Bayonne qui ont précédé celles d’aujourd’hui, disposaient d’un poste de police ainsi que de toilettes publiques.

Ces deux endroits étaient confiés à deux personnages incontournables qui, pour ceux qui les ont connus, se définissaient comme les garants zélés d’un ordre et d’une propreté ne souffrant aucune incartade…

Continuer la lecture de « Ancienne devise des Halles de Bayonne ordinem et munditiae »

Yvonne, Francette et les cèpes

Elle s’appelait Yvonne Lacaze, elle a consacré sa vie à sa famille et… aux Halles de Bayonne ou elle a commencé à travailler en 1922 à l’âge de 11 ans, elle y vendait des fruits et des légumes, mais aussi des cèpes lorsque la saison arrivait.

Jusqu’à l’âge de 70 ans, elle s’est levée entre 2h30 et 3h30 du matin, selon l’importance du marché du jour.

Continuer la lecture de « Yvonne, Francette et les cèpes »

Fin de la grande époque des halles

1963 dans les Halles de Bayonne…

« Il parait qu’ils vont construire un grand magasin en bas de Beyris… »

« Tu parles ! Ce n’est pas possible, là-bas il n’y a jamais eu que des marécages et des grenouilles ! »

Continuer la lecture de « Fin de la grande époque des halles »

Lorsque les « stars » étaient bayonnaises !

Contrairement à ce qu’il existe aujourd’hui, et aussi curieux que cela puisse paraître, que ce soit sur le quai Dubourdieu, le quai des Corsaires, le quai Galuperie ou encore le quai Jaureguiberry, il n’y avait aucun restaurant à proximité immédiate des Halles, ni même de café au sein de celles-ci…

Continuer la lecture de « Lorsque les « stars » étaient bayonnaises ! »

Pratique d’antan qui serait choquante aujourd’hui !

Si le carreau des Halles d’antan (et peut-être encore d’aujourd’hui) fleurait bon la camaraderie, l’ardeur à la tâche et la solidarité, il existait une pratique relativement fréquente et bien peu avouable qui aujourd’hui choquerait beaucoup de monde…

Continuer la lecture de « Pratique d’antan qui serait choquante aujourd’hui ! »